28 septembre 2008
21 septembre 2008
14 septembre 2008
07 septembre 2008
Place du Capitole - le Bibent
En 1931 ou en 1932, j'ai eu l'occasion de voir une photo
de ton père où trois enfants noirs courent vers la mer.
Je dois dire que c'est cette photo qui comme une étincelle m'a embrasé.
J'ai soudain compris que la photographie
peut fixer l'éternité dans un instant.
C'est la seule photo qui m'ait influencé.
Il y a dans cette image une telle intensité, une telle spontanéité,
une telle joie de vivre, une telle merveille
qu'elle m'éblouit encore aujourd'hui.
de ton père où trois enfants noirs courent vers la mer.
Je dois dire que c'est cette photo qui comme une étincelle m'a embrasé.
J'ai soudain compris que la photographie
peut fixer l'éternité dans un instant.
C'est la seule photo qui m'ait influencé.
Il y a dans cette image une telle intensité, une telle spontanéité,
une telle joie de vivre, une telle merveille
qu'elle m'éblouit encore aujourd'hui.
H. Cartier-Bresson
(lettre à la fille de Munkacsi)
(lettre à la fille de Munkacsi)
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